Parce que la vraie intégration africaine ne se discutera plus dans des salons climatisés, mais dans l’unité des peuples du Sahel debout et souverains.
L’AES n’est plus seulement une alliance.
C’est un souffle historique, un mouvement, un réveil continental.
C’est le début de l’Afrique qui s’assume, qui se protège et qui se projette.
Demain, l’AES ne sera pas une simple organisation régionale.
Elle sera le noyau dur, le cœur battant d’une véritable Union Africaine, une union qui ne répond ni aux capitales étrangères ni aux agendas impérialistes, mais aux aspirations des peuples : dignité, sécurité, prospérité.
Une Afrique qui parle d’une seule voix.
Une Afrique qui trace son chemin.
Une Afrique qui ne demande plus la permission d’exister.
La carte d’identité de l’AES ?
Ce n’est pas un document.
C’est un symbole.
Celui d’un continent qui recommence enfin à croire en lui-même.
L’histoire s’écrit.
Et elle s’écrit depuis le Sahel.
Satire TRAORE

