Le vent de la reddition des comptes souffle désormais sans relâche sur le Burkina Faso. Selon notre le journal l’Express du Faso, dans la nuit du jeudi 30 octobre 2025, l’ancien Directeur général de la SOFITEX, Arsène Gislain SOMDA, a été placé sous mandat de dépôt, en même temps que deux de ses collaborateurs. Une décision intervenue après son audition par le juge d’instruction du Tribunal de grande instance de Bobo-Dioulasso, pour des faits présumés de détournement de deniers publics, d’enrichissement illicite et de blanchiment de capitaux, des infractions sévèrement punies par les articles 332-17 et 332-24 du Code pénal burkinabè.
Une arrestation qui s’inscrit dans la nouvelle ère de gouvernance
Cette affaire retentissante ne relève pas du simple fait divers judiciaire. Elle s’inscrit clairement dans la dynamique de la Révolution Progressiste Populaire, impulsée par le Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, qui a fait de la bonne gouvernance, de la transparence et de la justice sociale les piliers du renouveau burkinabè.
Depuis plusieurs mois, les signaux se multiplient : les institutions de contrôle sont renforcées, les audits se poursuivent dans plusieurs sociétés d’État et la tolérance zéro vis-à-vis de la corruption s’affirme comme une ligne de conduite politique et morale.
L’incarcération de l’ex-patron de la SOFITEX apparaît ainsi comme un message sans ambiguïté. Désormais, nul n’est au-dessus de la loi, pas même ceux qui ont eu en main les leviers économiques du pays.
Une bataille pour la crédibilité de l’État
En agissant avec fermeté, le gouvernement de la Transition cherche à restaurer la confiance entre l’État et les citoyens, longtemps érodée par les scandales financiers et le sentiment d’impunité.
Le Capitaine Ibrahim TRAORÉ l’a souvent répété : « La Révolution Progressiste Populaire ne tolérera plus la prédation des biens publics ».
Cette ligne de conduite vise à faire du Burkina Faso un État exemplaire, où chaque franc public est investi au service du peuple et non d’intérêts personnels.
L’heure de vérité pour la gouvernance publique
Au-delà du cas Arsène SOMDA, c’est toute la gestion des entreprises publiques qui se retrouve sur la sellette. Les attentes du peuple sont grandes : il ne s’agit plus seulement de punir, mais de refonder la culture de gestion publique, en instaurant la rigueur, l’éthique et la responsabilité à tous les niveaux.
L’affaire de la SOFITEX, si elle est menée avec transparence et équité, pourrait bien devenir un tournant historique dans la lutte contre la corruption au Burkina Faso.
Elle rappellera que la Révolution Progressiste Populaire n’est pas qu’un slogan politique, mais une volonté réelle de redonner au peuple la maîtrise de ses ressources et de bâtir une gouvernance intègre, à l’image de la dignité des Hommes intègres.
’enrichissement illicite n’a plus droit de cité. La justice avance, et la Révolution veille.
Satire TRAORE

